Les latinistes de 3e se sont initiés à la lecture et à l’écriture des hiéroglyphes. Ils ont ainsi eu l’occasion de découvrir leur fonctionnement, la signification de certains des plus connus et le principe de l’écriture égyptienne.
Puis ils ont cherché les phonogrammes qui composent leur prénom ainsi que sa translittération en égyptien. Un exercice pas aussi simple qu’il n’y paraît, surtout quand il s’agit ensuite de dessiner et d’agencer l’ensemble de façon harmonieuse, comme le faisaient les Égyptiens.
Voici le résultat de leurs travaux.